POURQUOI CELA EN VAUT LA PEINE

Di Ser

Les parfums luxueux et rares séduisent un nombre croissant de connaisseurs. L’unicité est devenue essentielle, jusque dans le choix de sa fragrance. Le parfum se fait volontiers le messager d’une histoire fascinante – ce que l’on appelle le storytelling. Mais existe-t-il vraiment quelque chose de plus unique que la maison japonaise Di Ser – une marque de parfum aussi singulière qu’exclusive ? Gents fait partie des rares distributeurs au monde à proposer ces créations olfactives d’exception.

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À Sapporo, sur l’île d’Hokkaido, où le paysage côtier montagneux baigne dans une aura de mystère, la nature imprègne la vie et les hommes d’un voile poétique. Ici prospère une culture médicinale, riche en huiles essentielles et homéopathiques, épices et cosmétiques. C’est aussi là que se trouve l’une des maisons de parfum les plus rares et singulières au monde – Di Ser. Fondée en 1999, elle s’enracine dans une tradition millénaire. Ces parfums ne sont pas vendus à n’importe qui – et ne s’adressent sans doute pas à tout le monde. Mais pourquoi ne pas tenter l’expérience ?

la magie de la nature

L’expérimentation avec des ingrédients naturels trouve ses racines profondes sur l’île d’Hokkaido – sans doute grâce à la diversité de ses paysages montagneux et au climat contrasté entre été et hiver. Cela influence non seulement les matières premières, mais aussi le rapport des habitants aux dons de la nature. Hokkaido et Sapporo sont le cœur de la recherche médicale japonaise, et Di Ser se divise en deux entités : la section pharmaceutique Essentials Ltd. et Luz Research, dédiée à l’innovation dans l’industrie du parfum et des huiles essentielles.

Des ingrédients locaux naturels – bois, fleurs, agrumes – sont associés à des matières premières soigneusement sélectionnées, puis mêlés à de l’alcool végétal et de l’eau. Pour préserver la singularité des essences, chaque ingrédient est mélangé séparément, avec passion et une précision minutieuse. C’est là toute l’essence du Japon : une spiritualité et une discipline du détail en parfaite symbiose.

La symbolique de la nature se retrouve aussi dans le logo de Di Ser : une fleur de lotus stylisée se reflétant dans l’eau, symbole de deux visions du monde – l’une visible, matérielle, l’autre invisible, spirituelle. Un véritable yin et yang naturel. 

les parfums

Cette dualité se retrouve dans le caractère même des parfums. Ils ne sont souvent pas ce qu’ils semblent être au premier abord. La nature inspire indéniablement le parfumeur de Di Ser, Yasuyuki Shinohara, tout comme la pureté typiquement japonaise – de la qualité des ingrédients à l’esthétique minimaliste de leurs flacons épurés. Tout respire le Japon.

Certaines fragrances, comme la vivifiante Akanesasu, tiennent leur promesse d’un parfum solaire et frais, idéal pour le printemps et l’été, avec ses notes d’agrumes et de vétiver sec en fond. Comme une brise légère caressant le paysage au coucher du soleil. Dans le même esprit estival, mais avec une construction plus riche et complexe, on découvre la bombe de fraîcheur Mizu, qui, en harmonie avec une menthe rafraîchissante, subjugue par son citron d’Amalfi et le yuzu local, amer et rare, flottant tel un navire sur une mer de jasmin et de vétiver boisé.

Mais il existe aussi des parfums comme l’intense Hasunoito (considéré par les connaisseurs comme l’une des expériences olfactives les plus fascinantes au monde), qui débute sur une note presque envahissante de oud évoquant le foin chaud, puis se métamorphose au fil des heures, laissant place à des notes de cuir, de terre, de bois sculpté, d’épices et de fleurs de jasmin. L’idée narrative de la rudesse du lotus perçant la terre devient alors évidente pour celui qui porte ce parfum. Mais cela exige du temps et de la patience. Il faut ouvrir son esprit, attendre, se laisser surprendre.

En matière d’oud, il n’existe sans doute rien de plus exclusif que la précieuse et exceptionnelle variété présente dans le parfum Kyara. Nommée d’après un oud extrêmement rare, notamment originaire d’Indonésie et aujourd’hui presque disparu, cette note élégante est moins animale que celle de Hasunoito, mais sa combinaison chaleureuse de patchouli et de santal indien lui confère des tonalités boisées distinctes, relevées d’une touche de rose. Ce parfum puise ses racines dans une tradition japonaise millénaire où le kyara est utilisé lors du rituel religieux Kodo, brûlé comme encens. Le terme kyara désigne aussi la plus haute qualité d’oud, et chaque extraction du stock de Di Ser représente un risque tant la ressource est limitée. Rien d’étonnant à ce qu’il soit considéré comme exceptionnel. 

Ce type d’expérience unique a un prix – et doit en avoir un. Kyara et Hasunoito sont d’ailleurs tous deux des extraits de parfum – la concentration la plus pure d’essences.

unisex et dualité

La dualité se retrouve aussi dans le profil unisexe des parfums. Même une fragrance fruitée comme Amadeku – conçue comme un hommage sensuel à l’élégance de la femme japonaise – séduit tous les genres. La palette de fruits et de notes florales, portée par l’orange douce – une variété d’orange souvent utilisée dans les notes de tête de la maison – et le jasmin sambac, en fait aussi une ode à la nature et au printemps et à l’été japonais. C’est un parfum fruité intense dont la base de benjoin et encens lui confère une profondeur presque animale, idéale pour la peau masculine ou pour quiconque souhaite s’offrir un luxe estival hors du commun.

Si vous aspirez à l’unicité et à la différence, et souhaitez vous offrir l’un des parfums les plus singuliers au monde, laissez-vous tenter par la maison japonaise Di Ser. Et entrez dans un autre univers.

NOS PARFUMS DI SER

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